(Crédit Photo : Michel Luccioni)
Les dockers du port d’Ajaccio avaient annoncé samedi dernier un mouvement de grève qui devait débuter ce mardi 11 juin à 6 heures du matin.
Il n’en sera finalement rien.
En effet, le syndicat CGT a réussi à ouvrir le dialogue samedi, dans l’après midi, avec un représentant de la CCI. A l’issue de cette discussion, les revendications ont été entendues et les promesses faites par la CCI ont satisfait le syndicat qui attend maintenant des mesures concrètes.
L’objet de la grève portait sur l’environnement de travail qui n’était plus adéquat pour les dockers, à savoir leur local sanitaire et bureau qui se trouvent dans un état de vétusté avancée. « Nous occupons ces locaux depuis 1992. Il se sont depuis sensiblement dégradés,a expliqué Antoine Trojani, secrétaire général de la CGT dockers. En dehors des nombreux désagréments en raison de l’usure, nous sommes envahis aussi par des cafards. C’était une situation très préoccupante. Il y a actuellement 26 dockers qui se servent minimum quatre fois par jours de ce local sanitaire. Nous avons reçu Jean-André Simonetti qui s’est fait le porte parole de la CCI. Il est venu constater l’urgence de la situation. Nous avons ensuite discuté de la mise en œuvre de la réfection.
Dans un premier temps, à court terme, la CCI s’est engagée à nous envoyer équipes de nettoyage et de désinfection. Ensuite, nous avons obtenu une avancée et non des moindres, la promesse que la réfection serait mise à l’ordre du jour de la future Assemblée Générale qui aura lieu fin juin. Ceci actera par écrit ce à quoi la Chambre s’est engagée, à savoir la rénovation des locaux avant la fin de l’année ».
Pour l’heure, CGT et CCI semblent avoir trouvé un terrain d’entente qui permet notamment d’éviter une grève initialement prévue.
Il n’en sera finalement rien.
En effet, le syndicat CGT a réussi à ouvrir le dialogue samedi, dans l’après midi, avec un représentant de la CCI. A l’issue de cette discussion, les revendications ont été entendues et les promesses faites par la CCI ont satisfait le syndicat qui attend maintenant des mesures concrètes.
L’objet de la grève portait sur l’environnement de travail qui n’était plus adéquat pour les dockers, à savoir leur local sanitaire et bureau qui se trouvent dans un état de vétusté avancée. « Nous occupons ces locaux depuis 1992. Il se sont depuis sensiblement dégradés,a expliqué Antoine Trojani, secrétaire général de la CGT dockers. En dehors des nombreux désagréments en raison de l’usure, nous sommes envahis aussi par des cafards. C’était une situation très préoccupante. Il y a actuellement 26 dockers qui se servent minimum quatre fois par jours de ce local sanitaire. Nous avons reçu Jean-André Simonetti qui s’est fait le porte parole de la CCI. Il est venu constater l’urgence de la situation. Nous avons ensuite discuté de la mise en œuvre de la réfection.
Dans un premier temps, à court terme, la CCI s’est engagée à nous envoyer équipes de nettoyage et de désinfection. Ensuite, nous avons obtenu une avancée et non des moindres, la promesse que la réfection serait mise à l’ordre du jour de la future Assemblée Générale qui aura lieu fin juin. Ceci actera par écrit ce à quoi la Chambre s’est engagée, à savoir la rénovation des locaux avant la fin de l’année ».
Pour l’heure, CGT et CCI semblent avoir trouvé un terrain d’entente qui permet notamment d’éviter une grève initialement prévue.
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